Un texte de 1868 dans lequel on retrouve le talent d’observateur de Charles Virmaître (1835-1903), critique et témoin de la vie parisienne :
Un office matrimonial établi à Paris adresse annuellement, à la plupart des hommes d’affaires de France, une circulaire dont le passage suivant mérite une reproduction textuelle : J’ai la conviction, M…, que dans vos parages et dans vos relations, vous connaissez ou vous connaîtriez quelqu’un placé dans l’embarras de ne pouvoir contracter ou faire contracter mariage assorti, c’est-à-dire de son goût ou selon ses justes prétentions : aussi ai-je le plaisir de vous donner ci-après un aperçu des partis sérieux et actuels dont j’ai l’honneur d’être l’intermédiaire : 1° Un prince français, bien connu dans le monde par ses mœurs simples et irréprochable; physionomie agréable, [la suite de ce texte est la capture du livre de Virmaître, sur le site de la BNF]























Une réflexion sur “Le Marieur de Charles Virmaître”