L’Influence de l’école sous la IIIe République (3eme Partie)
L’influence du maître allemand ou français, est telle que, dans A l’ouest rien de nouveau, Remarque écrit : “Kantorek, pendant les cours de gymnastique, nous fit des discours jusqu’à ce que notre classe tout entière se rendît, en rang, sous sa conduite, au bureau de recrutement, pour demander à s’engager.”1 A cela s’ajoute le poids de la famille car le fils qui refuse de se battre est considéré comme lâche, Remarque le souligne “ …en ce temps-là, même père et mère vous jetaient vite à la figure le mot de “lâche” ». En France, le traitement est le même et les pères ne manquent pas de rappeler à leur fils, dans des lettres de guerre, les dogmes du patriotisme : « Mon cher Robert, Je pense que tu es toujours bien raisonnable et que tu fais bien les commissions à ta maman et aussi que tu apprends bien tes leçons car il faut bien apprendre pour faire un bon soldat dans quelques années car tu sais à l’école, les paresseux c’est les mauvais élèves, au régiment les paresseux c’est les mauvais soldats. Je vous embrasse tous. Ton papa Maurice » Après une telle lettre, l’enfant ne pouvait que courber la tête devant la volonté de l’Etat paternaliste et patriote ! Volonté d’autant plus lourde que le Ministère de l’Education tient à ce que les écoliers participent moralement à cette guerre. Voici un extrait du discours de rentrée de septembre 1914 : « Le devoir des écoliers est d’être disciplinés, laborieux, de se préparer à une situation honorable. Ce sera leur façon de servir la patrie, pour laquelle leurs aînés combattent avec tant d’héroïsme.» Evidemment, dès la rentrée 1915, les programmes se calquèrent sur le conflit qui menaçait d’être long: toutes les matières étaient désormais sous influence de la guerre. A cela s’ajoutèrent les journées commémoratives : « journée serbe », « journée des éprouvés de la guerre », « journée de l’emprunt de la défense nationale » et les commémorations des morts avec lecture de la liste des disparus. Aussi quelle lourde culpabilité si le fils n’obéissait pas au père qui était au Front, se sacrifiant pour la Patrie et pour les siens, comme lui avait appris son maître. Ce sentiment de sacrifice et d’obéissance développé à l’école depuis la fin du XIXe siècle permettait de gérer les volontés rebelles, il fallait effacer l’affront de la guerre de 1870 et la perte des sœurs Alsace et Lorraine. L’Eglise qui, au catéchisme, rappelait les devoirs envers Dieu et la Patrie, menaçait du châtiment divin si l’on ne remplissait pas son devoir, fut aussi une aide précieuse pour le conditionnement de ces générations. Et dans de nombreuses familles, les parents, heureux de se voir vengés, n’hésitaient pas à envoyer leurs fils à la guerre pour faire leur devoir : « …l’épreuve sera terrible mais il n’arrivera que ce que le bon Dieu voudra. Je vous confie tous à lui, fais ton devoir, mon cher petit […]. Soyez prêts à paraître devant Dieu et purifiez votre âme avant de partir par une bonne confession. » écrivait une mère à chacun de ses dix fils : cinq perdront la vie entre 1914 et 1917 !
C’est peut-être pourquoi lors de cette guerre si désespérante pour les hommes, il y eut relativement peu de désertions. Non pas tant en raison de la peur du peloton d’exécution que de la peur de l’opprobre sur soi certes mais surtout sur les siens, le nom familial sali à jamais, en fait ce que la morale de l’école avait appris aux écoliers attentifs et impressionnables. André Loez, dans son ouvrage paru en 2010, 14-18. Les refus de guerre, dans le chapitre « Endurer l’épreuve », note « l’efficacité qu’a atteinte l’Etat-nation comme cadre social en 1914 […]. Pour des hommes socialisés dans le cadre de l’Etat-nation, répondre à la mobilisation est la seule conduite socialement pensable, qu’on le veuille ou non. Il s’agit même d’une évidence collective : aucune autre possibilité réaliste n’est ouverte que le loyalisme, l’obéissance et le conformisme social. Ce dernier terme désigne l’ensemble des actes et des pratiques prenant place dans un cadre collectif et habituel sans être précédés d’une délibération intime ou d’un choix réflexif. Ainsi, la mobilisation de 1914 relève de l’évidence collective. »2 et de s’appuyer sur le témoignage d’un jeune militant socialiste Jean Texcier : « C’est la guerre européenne presqu’inévitable, quelque chose d’immense et de barbare qui déconcerte, désarme et nous fait apparaître comme des pygmées. Où sont les déclarations d’antan. […] Où sont les menaces : grève générale, insurrection. On se sent pris dans la bourrasque comme dans un étau mouvant. Il vous emporte et vous immobilise. On est stupide, angoissé, désorienté. ». L’école avait donc rempli son devoir : faire des écoliers de futurs soldats obéissants et conformistes, leur inculquer la haine de l’ennemi dont l’humanité disparaissait derrière des caricatures grossières dans lesquelles les Allemands étaient assimilés à des porcs grossiers, stupides et sales !
Conditionner les esprits ne suffisait pas, il fallait aussi plier les corps à la discipline militaire, c’est pourquoi en 1882, Jules Ferry créa les bataillons scolaires : « Tout établissement public d’instruction primaire ou secondaire, ou toute réunion d’école de 200 à 600 élèves, âgés de douze ans et au-dessus, pourra sous le nom de « bataillon scolaire », rassembler ses élèves pour des exercices de gymnastique et militaires, pendant toute la durée de leur séjour dans les établissement d’instruction. Dans les communes où les bataillons scolaires sont constitués, les exercices de bataillon ne pourront avoir lieu que 1e jeudi et le dimanche ; le temps à y consacrer sera déterminé par l’instructeur militaire, de concert avec le directeur de l’école. » » Décret du 6 Juillet 1882. Ce décret avait été préparé dès 1881 par le député Paul Bert, futur ministre de l’Instruction Publique, qui affirmait que “dans tout citoyen il doit y avoir un soldat toujours prêt » Il avait publié un Manuel de gymnastique et des exercices militaires et la Municipalité de Paris avait attribué un crédit de 250 000 francs destiné à organiser les enfants en bataillons armés et équipés. Et dès le 28 mars 1882, était parue la codification des exercices de tir dans l’enseignement primaire et secondaire. En 1885, dans son manuel des bataillons scolaires, Charles Lhomme écrivait que par l’éducation militaire à l’école nous gagnerons “une génération courageuse, sûre d’elle-même, au caractère bien trempé, bien équilibré, et qui sera prête à tous les sacrifices le jour où, forte de son droit et pleine de confiance en ses défenseurs, la France ira fièrement replanter son drapeau sur les bords du Rhin ! ” Il fallait donc préparer les garçons à récupérer les provinces, « les sœurs », perdues et dans ce but l’on autorisa la fabrication de 52 600 fusils scolaires, répliques miniature des fusils militaires, cela accompagné d’un uniforme : une vareuse et béret à pompon. Et les enfants défilaient les jours de fête devant les citoyens satisfaits de voir la relève ! L’on allait jusqu’à faire des chansons pour se persuader que les enfants étaient demandeurs de vengeance, prêts à mourir pour la patrie : Le Bataillon Scolaire d’Henri Chantavoine :
Chant des hommes :
Petits enfants, petits soldats
Qui marchez comme de vieux braves,
Sabre au côté, fusil au bras,
Les yeux ardents et les fronts graves,
Petits enfants, petits enfants,
Désertant livres et grammaire,
Vous marquez le pas, triomphants,
Sous le regard de votre mère,
Que pensez-vous, que faites-vous ?
Gais enfants aux mains si fragiles,
Gardez vos jeux et laissez-nous
Le fardeau des armes viriles
Chant des enfants : Nous sommes les petits enfants
Qui voulons servir la patrie,
Nous lui donnerons dans dix ans
Une jeune armée aguerrie.
Nous sommes les petits soldats
Du bataillon de l’Espérance,
Nous exerçons nos petits bras
A venger l’honneur de la France.
Et Barra, le petit tambour,
Dont on nous a conté l’histoire,
En attendant, bat chaque jour
Le rappel dans notre mémoire
Les journaux aussi vantent les bienfaits de cette mascarade de régiment : Nos petits troupiers. (Le Journal illustré du 26 juillet 1885) : « Les bataillons scolaires défilant à Paris, le jour de la Fête nationale, ont réellement émerveillé la foule par leur belle tenue et leur allure presque martiale. Il n’est point exagéré de dire qu’ils ont excité l’enthousiasme et donné foi en l’avenir. La grave question de l’éducation militaire à l’école, œuvre républicaine, a été maintes fois étudiée, avec les développements qu’elle comporte. L’année dernière, le Petit journal examinait, dans un long article, les résultats d’un remarquable concours sur ce sujet, concours auquel ont pris part un grand nombre d’instituteurs français. La réponse des concurrents a été concluante : – Oui, ont dit nos maîtres d’école, oui, l’éducation militaire des enfants produit et doit produire les résultats les meilleurs. Elle développe l’esprit de discipline, l’esprit d’obéissance, les forces physiques et les forces morales. L’exercice régulier, la marche, les enseignements patriotiques, l’habitude de l’ordre et de la propreté, tout dans cette éducation est de nature à former des hommes dignes de ce nom. Aujourd’hui le service militaire étant devenu une nécessité, une obligation commune à tous, il importe d’y préparer les jeunes gens qui jusqu’alors avaient horreur de la caserne et cherchaient à échapper à la première des obligations par les moyens les moins excusables » En 1888, Ernest Lavisse publie Tu seras soldat : histoire d’un soldat, récits et leçons patriotiques d’instruction et d’éducation militaire et d’écrire en introduction : “Je voudrais que dans toutes les écoles de France, l’instituteur répétât souvent à chacun de ses élèves les mots que j’ai inscris en gros caractères en tête de ce modeste petit livre : Tu seras soldat »
Mais rapidement ces bataillons posèrent problème aussi bien à l’armée qui estimait que les instructeurs n’étaient pas à la hauteur et qu’un décalage, entre la sortie de l’école et l’entrée au service militaire, pouvait provoquer une cassure irréparable, qu’aux milieux catholiques qui voyaient dans ces préparations un moyen d’empêcher les enfants d’assister à la messe et au catéchisme, qu’aux municipalités chargées du financement qui pesait lourd, qu’aux instituteurs qui se lassaient de ces instructions et qui commençaient à douter de leur efficacité, aussi en 1892 les bataillons scolaires furent supprimés. Mais ils furent aussitôt remplacés par le tir scolaire, mis en place par Poincaré dans un décret du 27 juillet 1893, c’était un tir à la carabine de petit calibre, pour les élèves âgés de plus de dix ans. Des concours seront organisés et cela donnera très vite naissance aux sociétés scolaires de tir qui seront financées par les municipalités, qui seront prises en charge par les instituteurs. Ces derniers étaient expressément invités à en prendre la responsabilité, à la créer en cas d’inexistence et d’y ajouter une section postscolaire pour accompagner les garçons jusqu’au service militaire et les recevoir après pour continuer à entretenir son aptitude au fusil ! Ainsi les petits Français étaient habitués dès leur plus jeune âge à la discipline, l’obéissance, le respect de l’autorité, le maniement du fusil, l’amour de la patrie ! Les instituteurs, l’Eglise, les manuels scolaires, la famille, les auteurs comme G. Bruno et la société en général faisaient d’eux d’excellents futurs soldats car comment sortir d’un carcan scolaire où l’on apprend : « Julien, les écoles, les cours d’adultes, les bibliothèques sont des bienfaits de notre patrie. La France veut que tous ses enfants soient dignes d’elle, […] Oh ! dit Julien, j’aime la France de tout mon cœur ! Je voudrais qu’elle fût la première nation du monde. Alors, Julien, songez à une chose : c’est que l’honneur de la patrie dépend de la valeur de ce que valent ses enfants…. » Ainsi parle, dans Le Tour de France de deux enfants, une vieille institutrice et l’auteur G. Bruno, dans son Premier livre de lecture et d’instruction pour l’enfant3, continue le martèlement : « Le tambour dit : Debout, marchons au devoir sans hésiter, fût-ce en face de la mort ! Plan, rataplan, plan. Et les soldats, réglant leurs pas aux battements du tambour, courent au-devant du danger pour défendre la patrie. […] Petits garçons qui lisez ce livre, vous aussi, quand vous aurez vingt ans, vous serez soldats et vous ferez à votre tour courageusement pour la patrie ce que les autres font maintenant pour elle. »
Non contents du sacrifice de plusieurs générations, les politiques continuèrent, pendant la guerre, la propagande nationaliste : ainsi le 7 août 1914 les nouvelles instructions du Ministère sont publiées, le ministre de l’Instruction Publique, Albert Sarraut, demande aux inspecteurs d’académie de mettre à profit les garderies des vacances pour conseiller des lectures « de nature à faire connaître aux enfants les événements actuels et à exalter dans leur cœur leur foi patriotique. » et d’expliquer dès la rentrée scolaire le sens de cette guerre : « A grands traits, sobrement, clairement, [la leçon] dira les causes de la guerre, l’agression sans excuse qui l’a déchaînée, et comment, devant l’univers civilisé, la France, éternel champion du progrès et du droit, a dû se dresser encore, avec des alliés valeureux, pour repousser l’assaut des barbares. » l’on peut, aussi, lire dans L’année préparatoire de Lecture courante, de M. Guyau4, ouvrage réédité en 1917, des maximes comme celles-ci : « la devise du drapeau français nous dit à tous de garder un cœur sans tâche et d’aimer notre patrie jusqu’à la mort » ou « Apprenons de bonne heure à servir notre patrie ». La leçon ou plus exactement le semblant de leçon de géographie sur l’Allemagne est en fait un moyen d’inciter les élèves à travailler plus durement pour être un bon patriote : « Il faut savoir reconnaître et s’approprier les qualités des autres nations pour tâcher de ne pas rester au-dessous de nos rivaux. Eh bien, petits Français, si les enfants de l’Allemagne apprennent moins vite que vous, – car les races du Nord ont d’habitude l’esprit plus lent, – ils n’en travaillent pas moins avec un grand courage : ils s’appliquent généralement à ce qu’ils font, ils se laissent moins distraire par une mouche qui vole ou une porte qui s’ouvre. Quand je passe, je vois leurs têtes au front carré penchées studieusement sur les livres en caractères gothiques; ils savent qu’une intelligence facile n’est rien sans une volonté persévérante. Ils prennent aussi de bonne heure l’habitude d’obéir du premier coup à un mot, à un geste du maître. […] Petits enfants de France, vous êtes aussi bien et mieux partagés que tous ces enfants de l’Allemagne; la plupart d’entre vous ont un corps aussi vigoureux, une intelligence plus vive, des maîtres meilleurs et plus doux; votre pays est bien plus beau et plus riche : une existence plus riante s’ouvre devant vous; […] Les Allemands nous ont vaincus une fois sur les champs de bataille; jusqu’à présent ils nous étaient restés inférieurs dans l’industrie et dans le commerce. Ils sont en train de nous dépasser […] : du courage, enfants, et ne nous laissons pas battre. Le travail, c’est déjà du patriotisme; la paresse, c’est la lâcheté. » Ce philosophe, excellent pédagogue disait-on, avait été à bonne école avec sa mère, l’auteur du Tour de France de deux enfants.
En 1915, un proviseur, trouvant sans doute que la guerre ne faisait pas assez de victimes, que les Allemands ne rentraient pas assez vite chez eux et que la France manquait de soldats, tint ce discours à ses élèves : « Chaque matin, demandez-vous comment votre journée pourra servir le pays. Le sacrifice est le devoir pour tous les âges, pour tous les temps”. Il ajouta : “On veut que même dans vos amusements, vous gardiez une pensée toujours tendue, une inquiétude toujours troublante, la pensée de la France dont l’existence est en question. » Dans cette même pensée et pour mieux influencer les jeunes esprits, à l’hiver 1915, le catalogue de Jouets-Etrennes du Printemps présentait, en couverture un père Noël en uniforme de soldat, dont la hotte était remplie de jouets guerriers. Dès le premier Noël de la guerre, le nombre de jouets guerriers présentés dans les catalogues des grands magasins s’est élevé de 25% à 50%. D’ anciens jeux, tel que le jeu de l’oie, furent transformés. L’un d’entre eux a pour titre : Jusqu’au bout pour le droit, l’honneur et la civilisation. Du côté des ouvrages, le livre de guerre l’emportait sur tous les autres . Même Bécassine et les Pieds Nickelés partaient en guerre, il fallait donner l’exemple, que diable ! Et les enfants devaient être traités comme de futurs soldats mais aussi comme le soutien moral des Poilus, c’est pourquoi lors de la distribution des prix en 1915, le discours était le suivant : « Allons, nos petits, votre fusil à vous, c’est le porte-plume. » ce qui fait écho à une dictée du vendredi 7 mai 1915 : « C’est à la lueur tremblotante d’une bougie que les poilus lisent les lettres, boueux et las, mais les mots ont un pouvoir magique et comme un conte de fée ils transforment l’humide réduit en palais enchanté ». Cela n’atteint pas les sommets des prières des petites filles que l’on peut lire sur les cartes postales de propagande de 1916 :
« Dieu, qui feriez parler les roches
Et qui transformez les saisons
Changez-nous vite en grands garçons
Pour qu’on aille battre les Boches… »
Rien ne sera donc épargné aux enfants pour qu’ils puissent faire leur devoir de bons citoyens. Développer le sentiment patriotique, donner l’idée de supériorité du peuple français faisaient ainsi partie du programme éducatif au même titre que la bonté envers les autres ou l’amour filial : ces enfants éduqués par les Hussards noirs de la République étaient donc prêts à mourir pour la patrie comme André Jéramec, ami de Drieu La Rochelle, qui écrit à sa grand-mère peu de temps avant de mourir : « Je n’ai pas le cœur gros, je suis heureux, joyeux de partir, je n’ai du reste aucun mérite. C’est la France qui est enthousiasmée. Et il faut que vous soyez joyeuse aussi de voir partir votre enfant. […] Notre armée est merveilleusement entraînée et d’un courage invincible. Tu vas avoir la joie immense, j’en suis sûr, de voir la revanche de cette guerre terrible qui vous a tant désolés. Je pars content car nous sommes créés, n ‘est-ce pas, pour défendre notre pays, et si on nous demandait de choisir la mort qui nous plairait, nous choisirions celle-là. […] , mais si je ne revenais pas, il faudrait se pénétrer d’un fait, que vous m’avez mis au monde pour quelque chose d’utile. »
1/ Mon papa en guerre. Lettres de poilus, mots d’enfants. Jean-Pierre Guéno. Librio d’après l’édition du beau livre, Les Arènes 2003
2/André Loez 14-18.Les refus de guerre Une histoire des mutins Ed. Folio histoire 2010 p 43
3/Librairie classique Eugène Belin Paris 1882 (cours élémentaire, premier semestre)
4/Jean-Marie Guyau, né à Laval le 28 octobre 1854 et mort à Menton le 31 mars 1888, est un philosophe et poète français. Il a parfois été considéré comme le « Nietzsche français ». Il est le fils d’Augustine Tuillerie, auteur du Tour de la France par deux enfants, publié en 1877 sous le pseudonyme de G. Bruno.
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