Je me souviens de la jeune femme souriante, affable, accueillante et chaleureuse que j'étais mais les autres m'ont ôté toute l'empathie que j'éprouvais pour mes prochains. Aujourd'hui, sans pour autant être devenue une vieille aigrie, je ne supporte plus l'hypocrisie des sourires, des amabilités enfin des salamalecs qui font croire au monde que nous sommes…
Journal d’une carte vermeil (17)
