Jean-Pierre appartenait au cercle très fermé des Panhardistes. Il était l’un des membres les plus actifs. Sa dextérité à démonter et remonter les pièces d’un moteur, son ouïe si fine à détecter le toussotement suspect faisait l’admiration de tous ces collectionneurs. Leurs âmes sensibles de mécaniciens s’émouvaient devant les pistons et les rouages si parfaitement…
Jean-Pierre, mon beau-père.
