Paragraphe : A la mémoire d’Horace de Viel-Castel

Comme toujours j'aimerais tant que Bloy ou Castel viennent écrire sur notre monde en déliquescence. Assise sur un banc, au soleil, je regardais un joli pigeon blanc picorer, picoter, becqueter, à mes pieds. A quelques mètres de moi, appuyée sur un grillage, une toute jeune fille, crapaütant consciencieusement, regardait avec inquiétude ce jeune pigeon. Ce…